Le Lac de la Discorde. Les enseignants de la commune de Bléré, en Inde-et-Loire, ne veulent plus que leurs élèves se baignent dans la piscine extérieure municipale, estimant que la température de l’eau, qui avait été abaissée en juillet dernier pour économiser l’énergie, était désormais trop élevée. froid. Le président de la communauté de communes autour de Chenonceaux, Vincent Louault, a été surpris par cette décision. « Jusqu’au 10 juillet j’avais l’eau à 26°C, rien à redire…. Vendredi matin, en raison d’une nuit froide, l’eau est à 25. Du coup, les professeurs des collèges et des écoles annulent et interdisent l’usage !”, a-t-il déploré sur Twitter. Piscine intercommunale. Le 10 juillet j’avais réglé l’eau à 26 degrés, rien à redire…. Vendredi matin en raison d’une nuit froide l’eau est à 25 : Résultat les professeurs des collèges et des écoles à annuler et à refuser d’utiliser ! #UrgenceClimat #piscine @emma_ducros @GeWoessner pic.twitter.com/pPpixT4OUF — Vincent Louault (@vincent_louault) 11 septembre 2022 Interrogé par CNEWS ce matin, Vincent Louault s’est dit “honnêtement agacé”, citant les nombreux efforts des collectivités. “On se retrouve avec des sauveteurs, une piscine à entretenir, des frais de 30 000 € par mois pour rien”, a-t-il expliqué. Et de dénoncer : “tout le monde s’accorde globalement à faire un effort et quand il faut faire un effort personnel, il n’y a plus personne”.
Les internautes partagent Les avis divergent sur les réseaux sociaux. « Eau à 25°C trop froide ! Je suis presque sûr que beaucoup de gens nagent l’été dans de l’eau de mer plus froide”, a souligné un internaute. “En tant que parent, je soutiens cette initiative des enseignants. Nos enfants n’ont pas à attraper une pneumonie ou d’autres conneries ! Il y a beaucoup d’autres sports pour occuper leur temps d’éducation physique”, a écrit un autre, exhortant les “enseignants” à “mettre un maillot de bain à la mi-novembre et à faire une séance de piscine à 25°C”.